Si les Français restent majoritairement attachés à l’absence de signes religieux dans les écoles et les lycées publics, les choses changent peu à peu dans la jeunesse et chez les sympathisants de gauche.
La dirigeante italienne est la cible de violentes attaques de la part du camp macroniste, notamment Gérald Darmanin. La raison ? Une opération de politique intérieure qui vise à s’en prendre à l’extrême droite et en même temps à séduire ses électeurs.
Pour rester populaires, les présidents de la République sont contraints de perpétuer la tradition de l’État nounou en augmentant la dépense publique. Tout en donnant des gages aux marchés qui permettent de faire fonctionner un pays endetté jusqu’au cou. Une équation de plus en plus impossible.
Les élus du Palais-Bourbon sont nombreux à souffrir du syndrome d’épuisement professionnel. Un sujet tabou qui a pourtant des conséquences sur leur santé et sur notre démocratie.
Cadres, jeunesse, macronistes historiques… Depuis quelques mois, le président de la République perd peu à peu son socle électoral. Seuls les plus âgés semblent lui rester fidèles. Une situation irrémédiable ?
Pour occuper l’espace médiatique et éviter les bourdes, les responsables politiques se contentent de plus en plus de réciter des phrases toutes prêtes. Au risque de donner une image d’insincérité et de lasser les citoyens. Mauvaise nouvelle, cela risque de continuer.